Croiser les doigts très fort et espérer ne rien oublier
C’est, en bref, la méthode pour laquelle j’ai finalement opté. Mais évidemment, il restait un paramètre que je n’avais pas anticipé : le départ de la natation. Un départ arrêté, au milieu d’autres nageuses. Pour moi qui ne suis pas très à l’aise dans l’eau, ça s’est avéré compliqué. Alors j’ai pris le départ, mais, prise dans le remous provoqué par les mouvements des autres participantes, j’ai paniqué… et fait demi-tour. Tout ça pour ça ! Une fois sur le ponton, passé l’instant de panique, j’étais surtout remontée contre moi-même. Par chance, s’agissant d’un triathlon destiné aux débutantes, j’ai réussi à « raccrocher les wagons », chose qui aurait évidemment été impensable en « vraie » compétition. J’ai donc pu partir pour l’épreuve de vélo (après la toute dernière nageuse). La suite : et bien, c’est un parcours pas mauvais en vélo (malgré une petite erreur d’itinéraire, on ne se refait pas) et pas si mal non plus en course à pied.